Depuis mi-mars, c’est la sensation pour tous les fans de séries. Adolescence retrace en quatre épisodes filmés en plan-séquence le drame d’une famille dont le garçon de 13 ans est accusé de meurtre. Déchirant et génial.
24 mars 2025 à 15:46, mis à jour le 31 mars 2025 à 16:43
Temps de lecture : 4 min
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Difficile de sortir indemne du visionnage de la minisérie Adolescence, mise en ligne mi-mars par Netflix. Ce n’est pas que la fiction soit violente. On ne voit d’ailleurs aucune brutalité. La violence est dans la douleur d’une famille, dans le drame d’un gamin de 13 ans arrêté pour le meurtre d’une camarade d’école. Dans le fait d’être adolescent aujourd’hui, victime ou bourreau des «copains» de classe. Dans le désespoir de ces parents et de ces profs qui ne comprennent rien, qui ne voient rien venir. Que ce soit dans le fond comme dans la forme, cette série britannique inspirée de plusieurs faits divers est un chef-d’œuvre absolu. Un terme parfois galvaudé. Mais on explique en quoi Adolescence est virtuose et bouleversant.
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